The best Side of Vêtements algériens
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Dès le XIIIe siècle, les Algéroises les plus riches sont à l'affût des nouveautés. Elles adoptent un vêtement andalou d'origine orientale : le sarouel[9]. Les citadines ont recours au voile afin de se distinguer socialement. Désormais, elles rabattent l'extrémité de leur péplum à fibules sur la tête pour circuler en ville[ten].
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Deux femmes de Constantine vêtues en gandoura dans les années 1930, celle à gauche porte le collier skhab et celle à droite une chéchia inclinée. Une ceinture de brocart ou de soie rayée retient la robe au niveau de la taille. La coiffe rigide, pointue, couverte de broderies, appelée chéchia devient indispensable.
Si les différents rajouts here brillants ne vous satisfont pas, vous pourrez toujours opter pour de jolies broderies. furthermore discret et moreover sobre qu'un karakou perlé, il saura vous rendre élégante lors des différentes events importantes de votre vie.
Pour l'homme, le burnous mentionné par Ibn Khaldoun au XIVe siècle, determine encore dans la garde-robe de nombreux Algériens. Le costume masculin en général are likely vers une simplification, il adopte peu à peu la mode occidentale[four].
Une femme citadine et un garçon à la fin du XIXe siècle à Alger. Cette bipartition du paysage vestimentaire algérien se perdure, mais elle n'empêche pas le maintien de liens consistants entre les deux varieties de costumes. Leur origine commune se devine à travers les éléments berbères qui persistent dans les costumes des villes principales et les costumes ruraux subissent l'affect assimilatrice des modes citadines[two].
La melhafa est fabriquée d'une soierie de form mensoudj au fond clair, parcouru de rayures en or. Tlemcen est parvenue à sauvegarder ces deux pièces tissées manuellement par les artisans de la soie, les harrar[33].
Si toutes ces tenues révèlent le savoir-faire nearby et le rang social de la personne qui les porte, dans la majorité des villes, la modernité a néanmoins eu raison de certains vêtements du quotidien.
jouent un rôle clé non seulement dans la préservation de la lifestyle algérienne mais aussi dans l’acquisition d’une indépendance financière. L’artisanat du Karakou permet à un nombre considérable de femmes de générer des revenus, améliorant ainsi leur statut économique.
property / Vêtements algériens / Vêtements traditionnels / Vestes karakou algériennes Vestes karakou algériennes
Femme kabyle portant les costumes et les bijoux traditionnels. Au début du XXe siècle, les tissus manufacturés poussent les villageoises à renoncer progressivement au tissage de l'akhellal[98]. La taqendourth devient alors l'élément principal du costume fileéminin.
En outre, la demande comprend la présentation des bijoux traditionnels associés à ces tenues, tels que la chachia Soltani, les bijoux frontaux appelés jbin et Khit er rouh, ainsi que les ceintures (m'hazma, hzam) et d'autres pièces essentielles à l'ensemble du costume[147].
Le turban des Ouled Naïl va connaître lui aussi un déclin experience au diadème[106]. Toutefois, les costumes de l'Atlas saharien continuent à privilégier la coiffure et les bijoux de tête par rapport aux vêtements[106].
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